CÉtait Donc Ça, Jouir ?!
COUP DE COEUR HDS --
Elle se prénomme Julia, cétait avant, avant lorage, avant la suprême émotion, elle
était active disciplinée positive ambitieuse, ne soccupait que de sa personne, du
coup ne jugeait personne mais ne culpabilisait pas non plus. Elle s'éprend vite et
abandonne tout aussi vite peut répondre favorablement à ses désirs aussi promptement
et facilement quils sont inattendus et violents. Mais cela doit être court et lheure
est rarement à la bagatelle Elle tout à ses études et ses moments dabstinences
peuvent durer
jusquà deux mois parfois. Elle a lindépendance des belle femmes,
elle vit seule cest plus pratique, elle a 22ans, dans sa tête parfois plus, parfois
moins, et quand un homme à son gout passe sous son regard, et donc que ses plans sont
mis à mal, elle tente toujours de repousser ses envies naissantes. Cependant, si une
belle image masculine sest figée dans un coin de son cerveau, elle sait quelle ne
tardera pas, tôt ou tard à refaire surface, et au moment le moins opportun... elle le
sait. Comme pour toutes les femmes, quand le désir sinvite, insolent effronté, que la
raison sincline, le parfum dun homme, une démarche, une voix, tout peut la faire
chavirer, elle en a maintenant lhabitude depuis que la vie la faite femme. Elle
résiste jusquau soir et si le feu ne sest pas éteint, sa main experte remplacera
labsence d'un homme, tout naturellement, ainsi va la vie. Dans ces moments là, elle
aime son corps, sa propre odeur, ses seins, ses fesses, son nez, elle accepte la
jouissance avec délectation. Demain, le corps calmé, elle se remettra à ses études. Il
le faut, la jeune étudiante sest fixé des objectifs ambitieux qui ne lui permettent
plus comme au temps du lycée, de se laisser séduire le temps dun ciné.
Julia est ravissante, dune beauté cruelle pour ses congénères ce qui la parfois
bridé quant aux relations quelle aurait pu tisser avec des amies filles.
comprise très tôt en lisant le regard le regard de ses copains de classe qui la
dévisageaient, tout émus de constater quautant de beauté, de raffinement pouvait se
concentrer en un seul être. Les ados de sa périphérie en étaient pour leurs frais.
Julia nen usait ni nen abusait, elle était en ces temps là simple spectatrice
presque étonné dattirer autant de regards garçons. Le fait est que maintenant
leffet que provoquait sa beauté sur lêtre humain nétait plus anodin puisque
désormais, Juia en était elle-même la victime gênée, il nétait pas rare en effet que
Julia soit attirée par son propre reflet et que cet émoi déclenche un joli gargouillis
en son ventre bien que tentant de sen défendre, toutes narines frémissantes. Ce
nétait pas un combat à mener, juste une taquinerie espiègle de la vie quil fallait
savoir gérer en tout lieu. Elle nen était plus étonnée puisqu'elle elle avait
surpris certains sourires, certains regards féminins de sa classe, qui semblaient lui
proposer plus que de lamitié. Que dire de plus ,
que son nez était délicieusement
dessiné, sa bouche charnue à souhait en garantissait le le trait que les rondeurs
s'étaient installées juste où il le fallait que ses oreilles ses joues ses cheveux
courts lui offraient un cachet supplémentaire. Son air mutin, parfois absent, hautin
ou absorbé pouvait décourager bien des prétendants seul un joli sourire, jamais
calculé, enjôleur à souhait, pouvait changer la donne, quand il paraissait vous être
attribué. Il faisait naitre de folles espérances à quiconque s'en était repu. Même le
doigt qu'elle passait naïvement mais énergiquement sous ses narines afin d'apaiser une
démangeaison fugace pouvait être interprété comme une invitation à venir jouer avec
elle. Quel événement pouvait bien venir ébranler une telle quiétude, une telle
assurance, faire douter une telle beauté ?
Un homme !.
grand sans doute, un visage agréable certes, mais qui ne l'avait pas titillé plus que
cela. Si ! Le regard peut être, qu'il lui avait lancé au moment où elle s'apprêtait à
enfourner, pressée, uns viennoiserie acheté au coin de la rue. Dis donc gourmande,
avait il semblé lui dire à cet instant, juste un regard en coin coquin, amusé.
Tout de suite oublié? Pas vraiment. Il s'était invité la nuit suivante dans un de ces
rêves qui vous laisse la journée qui suit des souvenirs de caresses, d'odeurs de mains
qui se cherchent et dont on ne se débarrasse quà la la nuit revenue. Cette fois les
nuits suivantes, avaient été souvent courtisées par ce jeune garçon qui sétait moqué
de son appétit . Le matin, depuis quelques jours Julia évitait son visage dans le
miroir, contrariée de devoir expliquer à la beauté qui lui faisait face, pourquoi
elle sétait sentie toute chose, pourquoi lhumidité sétait emparé de son vagin,
pourquoi sa main droite gardait des traces dodeurs enivrantes, pourquoi son corps
sétait raidi puis détendu, pourquoi le bout de ses seins réagissaient plus que vite
quà l'accoutumée à la moindre émotion. Il fallait sy résoudre, la nature semblait
rappeler à Julia que les choses du sexe désormais devaient compter davantage dans sa
vie. La nature saurait le lui signifier autant de fois que bon lui semblerait.
Au comptoir de la cafet. Il rédigeait un sms sans la voir mais Julia sétait attardée
cette fois sur ce visage quelle reconnaissait maintenant, sétant invité maintes fois
au milieu de ses nuits. Situation particulière de se sentir lintime dune personne
parfaitement inconnue. Il la vit
et cette fois, à travers les fenêtres et les
miroirs, elle avait reconnu , venant du jeune homme, les mêmes regards , gorgés de
désirs que lui adressaient maladroitement ses petits prétendants dantan.
Laisser naitre un sourire sur son visage divin, était ce quelle était prête à
accorder à ce minet des amphis qui venait maintenant déranger ses nuits depuis trop
longtemps. Tu le connais ce type ? lui avait demandée une amie, des copines de 3ème
année lappelle le bien monté !avait elle ajouté, songeuse et attendrie.
Mais quont elles toutes avec la taille du sexe ? Les garçons quelle avait connus,
lui faisaient perdre toute retenue pendant quils la prenaient, ils étaient à son
gout, normalement dotés et puis voila !Cétait bon, que recherchaient elles dautre ?
Ils mirent du temps à sapprivoiser finirent par se côtoyer se parler. Puis un jour,
il y eu rencontre ! Ils discutèrent un peu presque nonchalamment sans y mettre plus
dempressement que cela afin de ne pas se dévoiler trop vite, de ne pas subir
laffront dune déconvenue sans doute. Mais il ne résistait pas longtemps, et risquait
une invitation. Il lui proposait de venir assister à un match de foot, dans lequel il
jouait bien entendu. Elle était piégée, ses hormones avaient dit oui sans quelle ait
vraiment eu le temps danalyser la situation. Le travail ne manquait pas, ses
révisions prenaient du retard, mais elle ne pu que répondre : oui pourquoi pas
Le
foot ne lavait jamais passionné, mais le spectacle de ces jeunes mâles qui se
tiraient la bourre, était assez tentant. Julia avait parfois limpression quils se
battaient pour les faveurs dune femme. Qui serait lheureux élu ? Un seul homme ou
léquipe toute entière ?Et quelle femme était convoitée ? Julia se sentait lespace
dun instant prête à soffrir à tous, le feu la gagnait il fallait choisir : mettre un
terme à tout ça, ou se laisser mener et tout accepter. Elle pensait avoir quitté le
stade à temps mais il lavait rejoint. Ça ta plus ? beaucoup, charmant ! Il lavait
plutôt mal pris pourtant Julia lavait pensé au sens propre du terme, le charme avait
vraiment opéré sur elle.
Cest elle qui lui avait proposé de le ramener, et même de lui offrir un verre, elle
jouait avec le feu, se sentait peut être encore capable de résister aux propositions à
peine déguisées de son prétendant. Il était encore tout collant de ses efforts
sportifs et cest tout naturellement quelle lui proposa sa douche. Dans lappartement
de Julia régnait désormais une forte ambiance damour, la jeunesse de ces deux être
exigeait qu'ils se rencontrent c'était dans l'ordre des choses les hormones les
fantasmes l'érotisme étaient sur le devant de la scène et gagneraient la partie avant
la fin de la soirée. Un parfum inhabituel sétait emparé du lieu, Julia en était
consciente maintenant, tout ce quelle avait fait dans sa vie depuis ces jours
derniers, avait provoqué la venue de ce jeune homme chez elle. Elle allait lui
proposer une serviette quand elle aperçu dans la vapeur de la douche le sexe de Yann
...
Ses amis navaient pas menti !Elle avait aperçu une belle masse épaisse et lourde qui
regardait vers le sol et qui promettait de se redresser à la plus légère des
sollicitations.
Son ventre gargouillait, son cerveau allait bientôt être envahi de pensées qui la
mettraient à genou ... dans l'impossibilité de renoncer. Si elle ne mettait pas ce
garçon à la porte tout de suite, elle ferait lamour avec lui ce soi même .Elle lui
avait proposé une boisson, ils sétaient installés sur le canapé et tout était allé
très vite. Elle avait simplement prononcé ces mot : je ne sais pas
jai
je
tu es
très beau .. jai très envie de toi
Quand elle déclarait son désir à un homme, libre
ou non, aucun n'avait pu résisté jusqu'alors. Celui-ci ne fit pas exception !. Il
bredouilla un truc quelle ne comprit pas, et déjà elle prit sa bouche, Les langues se
cherchèrent sondèrent les cavités de lautre. Ils se sentaient, se léchaient, se
frottaient, se humaient. La difficulté était pour lhomme de ne pas jouir
immédiatement dans ses sous-vêtements, un tel déferlement de beautés de saveur de
senteurs de caresses de grâce de sexe à sa merci le rendait subitement ivre
d'excitation.
Puis Julia chercha lentre jambe de son amant, trouva le morceau de chair qui allait
la rendre folle, ferme et décalotté maintenant. Elle fit instinctivement les
mouvements de va et vient de circonstance, se détacha de sa bouche un instant afin de
contempler le membre, sa main et ses yeux nen revenaient pas. Le garçon lui repris la
tête pour la butiner à nouveau. Il avait faim de cette beauté, de ses jolies narines,
de ce sourire, de cette femme splendide quil était en train de séduire, qui
sabandonnait à lui et qui manifestait désormais son désir de son souffle court et par
de petites plaintes de femme comblée. Il avait glissé ses mains sous son soutien gorge
et avait trouvé une poitrine ferme et opulente aux tétons durcis par lenvie. Il ne
cessait de les câliner de les masser sans jamais quitter sa bouche, avide de baisers.
Elle sétait juste détachée un instant et trouva la force de lui dire « Tu es bon,
tu sens bon, tu fais ça bien, tu es fait pour lamour, tu mexcites, tu me
mais il
avait repris sa bouche, il la léchait puis enfournait sa langue, puis les visages se
faisaient face ils se dévisageaient, ils se humaient puis se collaient à nouveau
goulument. Le garçon, lui communiquait toute son excitation toute sa passion, la belle
sentait maintenant lhumidité envahir son sexe qui désormais prenait les commandes,
elle acceptait tout, elle ne refuserait plus rien de son amant.
Ils étaient fous damour.
Ils sétaient dévêtus mutuellement et quand les seins de Julia sétaient libérés de
leur carcan dentelé, il avait poussé un oooh admiratif flattant lorgueil de la belle
jeune femme qui lui avait répondu d'un sourire presque gêné. Comme un chien fou
submergé par une violente gourmandise, ils sétait empressé daller les titiller, les
lécher, le nez écrasé contre la jeune chair parfumée. Sa verge tendue sétait tout
naturellement présentée à lentrée du sexe de la belle, et sans attendre dy être
invité se fraya un passage dans la chair inondée. Ce que ressentit Julia la marqua à
jamais. Un plaisir jusquici inconnu pris possession de son corps. Son pénis l avait
rempli dun coup. Se sachant performant, son amant contenait ses assauts, allait et
venait délicatement, lépaisseur du membre faisait le reste. Il ne fallait pas la
faire chavirer trop vite.. pour elle, pour lui
ils voulaient saimer toute la nuit.
Le oh ! quelle avait poussé, bouche grande ouverte, délicieusement surprise par le
cadeau de chair que lui faisait son amant, sétait sans doute invité dans les studios
voisins et les occupants savaient maintenant à quoi sadonnaient ces deux êtres qui
venaient de se découvrir, éperdument amoureux.
Le vagin de Julia semblait déguster le sexe de yann, elle avait pris les commandes et
sur lui, les yeux mi-clos imposait son rythme en offrant à son homme le spectacle
enivrant des ses seins, sublimes, libres qui ballotaient au gré des ondulations des
corps. Le jeune homme ne perdait pas une goute du spectacle qui lui était offert. De
ses narines qui frémissaient, du parfum qui s'en échappait, de sa bouche qui parfois
se pinçait délicatement ou souvrait grande, interloquée, laissant séchapper un
souffle chaud et sonore. A chaque enfournement les fesses de Julia allaient toucher
les belles testicules du garçon et au contacte des deux pubis le membre de Yann
avantageusement proportionné, à chaque butée se relevait. Il allait solliciter
davantage la paroi déjà dilatée du vagin de sa belle, envoyant du même coup une
décharge damour vers son clitoris qui ne sétait jamais encore fait courtisé de la
sorte.
Cest alors que que yann lui pris la nuque, la renversa, se retrouva au dessus delle.
Il navait plus quun idée en tête : la féconder ! Ses assauts devinrent plus
puissants, il ne calculait plus, était emporté par son désir quil ne contrôlait plus.
Il était chez lui dans le corps de julia, ne demandait plus aucune permission aucune
ne prenait plus aucune précaution, il la prenait, la culbutait, la baisait. Julia
pressait de ses mains les lobes fessiers de son amant, accompagnait ses coup de
boutoir tout en lui adressant des louanges quand son souffle le lui permettait.
Oh que cest booon ouiiii bon cest booon, encooore cest fort humm, merveilleux,
continue, toujours toumour, nieen ouii ooh, ha bour, cur, mour, oh mouiiii son
cerveau ne vivait plus que pour la baise et ne corrigeait plus le flot dincongruités
qui séchappait de sa bouche ravie.
Elle agrippait son homme, le nez écrasé contre son corps, grimaçant, geignant, se
délectant de sa chair
Le torrent de plaisir déferla !... surprise, abasourdie, secouée par lorgasme qui
létreignait. Le soubresauts de son corps durèrent longtemps, ponctués de petits cris
de oooh ... mouiii ...
sa voix sétouffait dans les hoquets d'un dernier : je
t'aime...
Les pommettes rougies par le plaisir; La tète au creux de son cou, elle goutait la
sueur de son amant puis remontait sur ses lèvres , suçait la langue quil lui offrait
. Elle avait senti le jet de sperme lui tapisser le fond du vagin alors qu'il il lui
glissait au crue de loreille : tiens, ... cest pour toi, je te fais notre bébé
elle
avait été à 2 doigts de perdre connaissance.
Cétait donc ça, jouir ?! jouir et se repaitre des assauts dun homme qui ne vous veut
que du plaisir, essoufflée fatiguée sereine apaisé rassasiée, émue et fière davoir
été lobjet dautant de désir.
Ils eurent beaucoup de mal à penser à autre chose que leur sexe, leur désir, leur
corps. Ils restèrent 3 jours ensemble, collés, obéissant à toutes leurs pulsions. Leur
corps rassasiés, acceptèrent enfin de se séparer de se vêtir, sortir , respirer un
autre air que le leur.
Puis ils allèrent diner se contemplèrent souvent, longtemps, attendris, ,
courbaturés, après ce que la vie leur avait offert ces dernières heures.
Ils regagnèrent le nid .. le feu qui couvait, titillait leur sens à nouveau
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